Programme
Culturel
- L'image
/ Licence 2
- Musée d'art contemporain
/ Licence 3
- L'image
L’image est un projet complémentaire du « Logis »,ce nouvel exercice de Lorenzo Piqueras consiste à expérimenter le processus d’une décomposition d’une image afin d’en extraire les constituantes et pour en faire un opéra. On y découvre cette fois ci, les formes, les lignes, les courbes et la transition d’une production 2D à une espace tridimensionnel.
Par le choix d’une photographie, -pour ma part fut une photographie de Blumenfeld- on y travaille sa décomposition, on y découvre le monde de la forme et de la couleur. On décline, on analyse, on relève, on substitue, on décompose l’image donnée pour qu’ensuite ces traces apparaissent tel un plan, ou un coupe ou une élévation.
D’autre part une figure est réalisé. En d’autre termes, c’est réussir à résumer par deux/trois pièces de carton l’ensemble du projet pour permettre de vérifier la correspondance entre l’image et sa mise en forme.
- Musée d'art contemporain
Lors du studio de Simon Pallubicki, nous avons été encouragés à developper une démarche conceptuelle. A l’image du studio de l’année précédente, nous avons exploré une nouvelle forme de modèles de réflexions sur l’architecture pour produire un projet d’une fondation d’art contemporain.
D’une part, nous nous sommes familiarisés avec les données quantitatives d’un programme.
De plus, des petites figures nous faisaient manipuler l’espace et la lumière et permet avoir une démarche intellectuelle sur un parcours en fonction du registre des oeuvres d’art.
Nous sommes partie d’une hypothèse qui a tracé les premiers caractères spatiaux entre le programme et le contexte extérieur.
Notre site de recherche était situé sur le boulevard Macdonald, sur le square Claude Bernard à Paris dans le 19ème arrondissement.
Après une analyse urbaine de notre parcelle, nous avons pu en conclure qu’il subsiste une plateforme en lien avec la banlieue et Paris
( grâce à un pont au dessus du périphérique ).
C’est aussi un point culturel potentiel puisque la zone étudiée ne possède pas de centre culturel, à part un cinéma qui se situe juste en face de notre zone de travail.
Le choix de la disposition de l’espace public est une réflexion faite par une hypothèse qui dicte le projet à l’image du Studio Uno de Lorenzo Piqueras.
Paisible s’est découlé en trois caractéristiques à savoir ; séquence lente, horizontalité et continuité. Celui-ci, s’est découlé principalement en terme d’espace public.
Et c’est donc à partir de ces trois mots que j’ai pu découler de leurs sens et penser le plan du musée.
- Continuité : pour la continuité programmatique.
Séquence lente : un parcours linéaire
Horizontalité : dans l’architecture, particulièrement ressentie sur les élévations et coupes.