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Unité d'habitation

- Le logis

/ Licence 2

- Le logement collectif / Licence 3

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- Le logis

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Le studio de Lorenzo Piqueras proposait d’élaborer une habitation pour une famille de deux adultes et de trois enfants dont un en bas âge. 

 

Avant toute chose, quatre activités sont définies et chacune d’elle fut  associée à une couleur - Se reposer ( vert ) se nourrir ( rouge ), se laver  ( bleu ), se réunir ( jaune )-. 

De plus les pièces ,murs et couloirs devait être exclus de notre langage pour réfléchir un espace dans sa totalité, regroupant plusieurs fonctions et activités. 

 

Suite à cela, un organigramme ( tel un contrat ) en est sorti par l’assemblage des quatre couleurs ajoutée d’une cinquième,le blanc, qui constitua « l’hypothèse » du logis. 

 

Cette hypothèse permit de donner toute l’âme de la maison. Elle permet de nous concentrer sur une conception particulière. Elle n’est pas une contrainte, mais plutôt une façon de donner un sens au projet. 

De plus, elle englobe ou touche d’autre fonction  dans l’organigramme.

 

L’hypothèse et le travail sur le logis se trouve être l’analyse des mots pour en découvrir ses sens. Elle vient pour ma part, d’une citation de Nietsche : « Ce n’est pas le doute qui rend fou mais la certitude. »

J’ai traduit cette citation en mettant en oeuvre tous les sens pour perturber la rationalité de la maison.  L’idée fut de perdre certains repères qu’on pourrait retrouver dans une maison « traditionnelle » à l’image d'entendre de l’eau qui coule dans une chambre peut nous interpeler. 

 

Enfin, chacune de ces activités répond à une suite de critères architecturaux symbolisés par des petites icônes. Mais le critère commun du projet est que l’habitation doit rentrer dans un plan carré. 

 

C’est donc à partir d’une notion abstraite (l’organigramme et ses critères) que naît cette conception et permet de réfléchir différemment la manière d’élaborer un travail.

- Le logement collectif

L’objectif de ce dernier semestre de Licence a été d’explorer le thème du logement collectif en tant qu’élément de construction de la ville.Nous avons en préambule étudier des projets de K.Fisker pour prendre conscience de l’influence d’une typologie sur la forme urbaine.

La deuxième étape fut de concevoir l’analyse urbaine de notre site par groupe de quatre pour en détacher les caractéristiques majeures.

Toujours avec le même groupe de quatre que le projet de logements collectifs s’est conçu. 

Enfin, c’est personnellement qu’il fallait réfléchir à une proposition d'un logement collectif à l‘intérieur de la parcelle 

 

 

Le choix commun que nous avons opéré fut d’insérer la parcelle autour d’une zone piétonne. De ce fait, nous avons redimensionné les rues de manière équivalente ainsi que re-dessiné l’espace public. 

 

Il s’agissait de concevoir deux lignes urbaines directrices dont la jonction forme un pôle distributif. Elles permettent pour la première de lier la ville, la parcelle et la darse, et pour la seconde d’ordonner les logements en formant un macro-lot. 

 

Les bâtiments présentent tous un alignement sur rue, de plus l’accès aux logements doit se faire obligatoirement par l’intérieur de la parcelle.Enfin, il a été décidé que tout les RDC doivent avoir à la fois une même hauteur sous plafond de 3,5m de haut , ainsi qu’être vitré et linéaire.

Pour commencer, le projet est situé en bout de parcelle et sa volumétrie est sous forme de « U », ces deux critères permettent de mettre une rupture visuelle entre la rue interne du projet et l’espace public environnant. Il s’agit de deux corps de bâtiment linéaire dont une verrière au milieu permet de les lier.


Cette verrière a non seulement pour rôle de créer une séparation entre public et semi-public, mais aussi jouer un rôle de distribution des quatre niveaux de logement. 

De plus, le projet a pour vue principal l’intérieur de la parcelle, car son environnement est travaillé pour offrir une vision et un espace calme dans la mesure où l’intérieur de la parcelle est semi-public et donc engendre moins de passage de la population du quartier. De ce fait, toutes les parties jour des logements sont orientées vers l’intérieur de la parcelle. Et les parties nuit disposent d’une coursive privée sur toute la longueur du bâtiment pour permettre de faire pénétrer la lumière mais aussi jouer un rôle d’aération. 

Le traitement de la façade n’est pas seulement à but esthétique, elle permet de créer une rue couverte pour aller vers le café et la librairie, et au étage elle créer un rythme sur la coursive et est un filtre de lumière et de vue pour les chambre et la salle de bain afin de garder une intimité. 

Enfin, cette façade offre l’effet d’une continuité avec une terrasse sur le toit commune pour tout les habitants de l’immeuble.

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